Mon choix de carrière en urbanisme fut motivé par mon intérêt pour les sciences sociales autant que par mon intérêt pour le cadre spatial des villes. Rassemblant ces disciplines et plusieurs autres, l’urbanisme me semblait le choix tout indiqué afin d’apprendre à travailler au sein d’équipes pluridisciplinaires rassemblant professionnels et acteurs du milieu. Ainsi, mon passage à l’Institut d’urbanisme aura permis de développer mon sens critique, mon leadership et ma créativité, en plus de confirmer mon intérêt pour la gestion, la communication et l’action concrète. Au cours de mon baccalauréat, j’ai eu l’occasion d’être impliquée dans plusieurs activités parascolaires, telles l’association étudiante et l’organisation de l’exposition des finissants. Désirant poursuivre mon parcours scolaire aux cycles supérieurs en gestion, j’ai confiance que les compétences acquises lors de mon passage à la Faculté de l’aménagement y seront un atout.

La planification du développement urbain durable: L'étude du cas de la Ville de Victoriaville

Nom du tuteur: 
Franck Scherrer

Dans les deux dernières décennies, de nombreuses villes à travers le monde ont mis en place des politiques et plans d’action afin d’encadrer la planification du développement durable sur leurs territoires. En effet, le développement durable repose sur le principe voulant que le palier local de gouvernement soit le plus efficace dans les actions à mener à son égard. C’est donc dans ce contexte et afin d’outiller les municipalités que plusieurs types de démarches et modèles de plan d’action, comme l’Agenda 21, ont été proposés par les gouvernements ainsi que par les organisations internationales. Pour évaluer les démarches concrètement mises en œuvre en matière de développement durable par les municipalités du Québec, j’ai choisi de faire l’étude du cas de la Ville de Victoriaville, l’une des municipalités affichant le meilleur rendement en matière de développement urbain durable. Bien que cette municipalité du Centre-du-Québec ait atteint des résultats qualifiés d’exemplaires, les actions qui y sont entreprises ne sont pas issues d’un plan d’action standard. C’est donc en comparant la méthode employée par la Ville de Victoriaville aux modèles types de plan d’action proposés par le Ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire que l’objectif de mon projet terminal a pu être atteint, celui de tirer de l’exemple de Victoriaville des leçons pouvant être mises à profit par d’autres municipalités de taille moyenne.

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